mercredi 31 août 2011

Un an déjà !

Le 31 août 2010, nous lui disions au revoir. Un an s'est écoulé, et l'absence est toujours aussi douloureuse, pour ne pas dire plus. Je voudrais partager avec vous tous qui l'avez connu, ce merveilleux souvenir,souvenir heureux. C'est "Georges, papa, Bapou, Sucre Gandhi," dans cette vidéo   http://www.youtube.com/watch?v=KNdgbAU2dZA
Ce film a été tourné dans les années 1977-1978, entre amis, on était jeunes, ... et un peu fous. Pour vous qui avez connu Georges (@Sucre Gandhi), ce film fait partie des souvenirs, des beaux souvenirs, avec lesquels il nous est donné de vivre, désormais.


mardi 30 août 2011

Demain un an .....


L'absence...
au début ce n'est rien
Qu'un peu d'eau sur la joue
Un soleil qui s'éteint
Dans un coeur qui se noue
L'absence...
Quelqu'un part en voyage
Quelqu'autre reste là
Les yeux dans les nuages
Cherchant je ne sais quoi
L'absence...
ça vous flanque l'hiver
A la belle saison
Et le coeur à l'envers
Sans rime ni raison
L'absence...
Le temps fait du sur place
Pour mieux vous tourmenter
Et chaque heure qui passe
Semble une éternité
L'absence...
ce sont les oripeaux
De la mélancolie
Qui vous collent à la peau
Comme une maladie
L'absence...
C'est la photographie
Qui vous rappelle un corps
Dont la beauté sans vie
Vous fait plus mal encore
L'absence...
ce sont les mots jetés
A travers les distances
Les baisers avortés
Dans la correspondance
L'absence...
C'est l'envie de mourir
Pour ne plus vivre seul
La ronde aux souvenirs
Qui vous pendent la gueule
L'absence...
c'est l'espoir d'en sortir
Gros comme une montagne
Qui vous ferait bâtir
Des châteaux en Espagne
L'absence...                                                               chanson écrite par Fred De Pauw - 1980




Sucre Gandhi nous quittait, le 31 août 2010, il m'aura fallu un an pour oser reprendre son Blog. Je n'ai pas sa plume, mais je ferai de mon mieux pour transmettre son héritage, et écrire la suite de notre voyage en Indonésie en juin 2008. Maintenant, plus que jamais, je lui dois de poursuivre ce long récit, pour nos trois enfants, et nos six petit enfants, et surtout pour Chloé et Shia parce que c'était ça son but : montrer à Chloé, et maintenant à son petit frère, combien il avait aimé le pays de leur maman.